Arbres fourragers:
« Pendant des millénaires, les feuilles d’arbre ont constitué la base de l’alimentation du bétail. La mécanisation de la récolte de d’herbe a peu à peu fait disparaître cette pratique, qui a résisté jusqu’au milieu du XXieme siècle pour le fourrage d’appoint. » (Arbres fourragers Jérôme Goust, édition Terran)
Les arbres fourrager peuvent représenter une solution face aux problématiques agricoles actuelles : augmentation des périodes de sécheresse, dégradation des praires permanente, diminution de la biodiversité, … ; tout en produisant des ressources diversifiées (bois de chauffage, BRF, fruits, miel, maintien des sols, …)
En voici certains disponibles à la pépinière en jeunes plants (tarifs sur demande) :
- Aubépine (en émonde, haie, recépée)
- Aulne glutineux (peu appétant mais peut rentrer dans la ration)
- Bouleau verruqueux (anecdotique)
- Châtaigner (pâturé, recépé, émondé)
- Cormier – sorbier domestique (apprécié du bétail, supporte la taille)
- Cornus mas (attention au surpaturage)
- Erable champêtre (réputé comme fourrage sec d’hiver, dans les haies, taillé)
- Févier d’Amérique (feuilles et gousses très appréciées)
- Hêtres commun (apprécié jeune, en trogne)
- Merisier (protéger sa tête)
- Mûrier noir (l’un des meilleur fourragers, en trogne, fruits pour les poules)
- Noisettier (merveille de bolwiller, nottingham, rouge de zeller – recépé)
- Paulownia (grosses feuilles, trogne, recépage, pour ruminants et cochons)
- Poirier sauvage (pyrus comunis – en émonde, tétard mais garder une tête)
- Pommiers (malus comunis – supporte bien la taille, tête à préserver)
- Prunier (prunus domestica – taille ok, tête à préserver)
- Saules (saule marsault, saule blanc, saule des vanniers – taillis pâturés, têtards)
- Sophora du japon
- Sureau noir
- Tilleul (l’un des meilleurs fourragers, trogne, pâturé sur place)
- Viorne obier